Présentation: QGI
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Présentation: QGI
par QGI Sam 10 Sep - 15:54
note: QGI est mon pseudo personnel en tant qu' admin. Mon personnage est dépourvu de nom
Le vaisseau destroyer de classe Palaeon navigue dans le vide intersidéral, à quelques parsecs de Kamino. Sans objectifs apparents, il ère attendant des ordres de destination, maintenant sa position au système solaire près.
Dans la salle de commandement, les responsables du navire sont réunis sur ordre de leur Maitre. Ils attendent, mi-angoissés mi-rassurés d'être tous présents. La porte s'ouvre, face à la sordide réunion. La silhouette qui tranche l'ouverture de la porte est sombre, grandissante à mesure qu'IL s'avance. IL n'est pas très grand, plutôt de taille moyenne. Mais la vache il en impose. tandis que l'on devine sa respiration qu'il s'efforce de maintenir lente, l'assistance, elle, retient son souffle. Un casque recouvre son visage.Comme toujours.
Pour tous, le Maitre n'a simplement pas d'autre visage que ce masque. Il parait neutre, avec un simple système respiratoire de secours en cas de dépressurisation. Pourtant, avec sa continuité profonde au niveau des yeux, cela lui donne un ai éveillé, méfiant, attentif. Prêt à agir à tout instant à quelque impondérable. Et l’inexpressif orifice lui servant à respirer à travers sa lourde protection ne laisse jamais rien présager de ses réelles intentions. Certains sous-officiers ont entendu du personnel non gradé plaisanter à ce sujet, pronostiquant une incapacité totale à rester sérieux, à conserver une attitude noble, et que cet accoutrement était son seul moyen de se faire respecter. Il n'empêche qu'en sa présence, personne n'osait ne serait-ce que penser à ça.
Il semblait que son torse se gonflait un peu plus à chaque respiration. Comme si il s'apprêtait à exploser une fois arrivé à la table centrale. mais le casque empêchait d'entendre sa respiration. Sa tunique matelassée ondulait timidement au rythme de ses pas cadencés. Sa légère armure au tronc empêchait tout mouvement superflu de sa tunique, pour garer une attitude sobre. Ce qui serait d'ailleurs le cas si ses mains n'étaient pas également équipées de protections, ajoutant au bout de ses doigts une terminaison acérée en Phrik, un alliage qui porte bien son nom car son prix est très élevé, et pour cause il est si résistant qu'il peut résister à un assaut au sabre-laser.
tant ces griffes que sa ceinture étaient des éléments perturbateurs de la tenue du Maitre, venant rompre avec la sobriété. Cette ceinture à laquelle pendaient en tout 8 sabre-lasers. Cela pouvait paraitre étonnant et forcer le respect, mais en réalité ces sabre-lasers étaient tous de sa conception. Non pas qu'il n'avait jamais eu affaire à des Jedi ou à des Siths, bien au contraire, dés qu'il croisait un Jedi au hasard d'un pillage, ce dernier se faisait un devoir de l'éliminer. Comme si ça lui servirait à quelque chose de mourir au combat. Les siths étaient plus réfléchis, plus perfides. Ils ne se battaient pas directement, sauf si ils y étaient contraints. Ils préféraient toujours laisser la sale besogne aux sous-fifres et aux machines, et tentaient parfois de l'éliminer en combat spatial ou en embuscade avec des chasseurs de prime. ce qui avait au moins l'avantage d'être plus facile à gagner qu'un duel au sabre-laser. Le maitre n'aimait pas ces fourberies. C'est pour cela qu'il préférait les Jedis. Eux au moins étaient directs et offraient du challenge.
Oui, le Maitre avait déjà vaincu quelques Jedis en duel, et même un ou deux siths d'après les rumeurs. Il n'appréciait ni les uns ni les autres. Les premiers à cause de leur naïveté qu'il jugeait proche de la niaiserie, les autres à cause de leur fourberie, et de leur soif de pouvoir qui venaient immanquablement parasiter la sienne propre. Et si il était en mesure de les affronter, c'est qu'il avait eu lui-même un bon maitre. Enfant, il a été repéré non-loin des limites de la bordure extérieure, dans le secteur de Yarith. Le chevalier Jedi envoyé là-bas ayant eu des problèmes en chemin avec des pirates, il est resté un moment sur la planète en compagnie du jeune garçon pour lui enseigner les rudiments de la vie qui l'attendait si il suivait son enseignement, et l'initier à percevoir la force. Mais avant que celui-ci ne reparte pour Coruscant, un seigneur sith qui avait aussi senti le garçon et voyait là un apprenti potentiellement puissant, arriva pour se débarrasser du Jedi et de son escorte. Il prit ensuite le garçon sous son aile, lui expliquant qu'il avait été trompé par le Jedi, qui ne lui avait montré qu'une vision trop étroite de la Force. A l'écart des villes, il l'initia insidieusement au côté obscure pendant 2 longues années au cours desquelles il commençait à prendre de plus en plus l'aval sur lui. Il exigeait d'être appelé "maitre". Cela, le garçon ne le voulait pas. Sa liberté devait lui appartenir, à lui et à personne d'autre. Il parvint à tuer son maitre dans son sommeil. Fort de sa jeunesse, et de ses nouveaux pouvoirs, il devint un négociant hors pair, entre arnaques et bonnes affaires, petits larcins et marché régulier... A sa majorité, il avait amassé une somme suffisante pour inciter un parieur à miser son vaisseau à un jeu de hasard qu'il ne lui fut pas difficile de truquer. Il devait son entrainement depuis ses 10 ans à sa propre rigueur et son propre désir d'immersion dans la force. Côté clair ou obscure, il ne faisait pas de distinction et pouvait utiliser sa colère aussi bien que la méditation pour parvenir à ses fins souvent égoïstes. Il avait tellement envie qu'il réussit à s'ouvrir et à s'entrainer de manière très intensive, sans autre enseignement que celui qu'il reçu en moins de 25 mois. Cela lui avait permit d'acquérir des techniques très personnelles dans l'usage de la force, qui déroutaient ses adversaires initiés. Il n'a jamais perdu un combat. Dans le pire des cas, il a fui, mais jamais après avoir été défait. Toujours avant de subir une blessure.
Il arriva enfin à la table, s'y appuya de ses poings griffus, et prit la parole. D'une voix grave, un peu soufflante, mais très basse.
"Bien, vous ignorez pourquoi je vous ai tous convoqués après cette brillante opération en orbite de Kamino."
_Pas pour nous féliciter" souffla un sous-officier à son référant, assis à ses côtés.
Il était impossible que sa voix ait portée jusqu'au Maitre. Même les voisins du sous-officier avaient à peine entendu le souffle de sa voix. Pourtant, l'officier référant blêmit. Et à raison. Il aurait du prévenir son second de fermer sa trop grande gueule. Le Maitre ne releva pas, mais poursuivi son discours en regardant dans la direction du sous-officier:
"Nous sommes parvenu à nous emparer d'un paiement énorme d'une confédération marchande contre la disposition d'un lot de millions de clones de protocole. Nos crédits sont désormais quasiment illimités. il est temps de voir un peu plus grand."
_Ca ne doit pas être facile à travers ce casque" Cette fois-ci, le sous-officier avait prit soin de se contenter de penser très fort, redoutant d'aggraver les réprimandes qu'il subirait sans doutes déjà de son supérieur. Le Maitre semplait pourtant le regarder avec une plus grande intensité. Ce qui semblait indéterminable à cause de son casque, et pourtant cela paraissait aussi évident.
_Il est temps pour moi de créer un monde. Un monde dans lequel chacun pourra venir s'installer. Une flopée de planètes non-colonisées, où tout sera possible pour peu qu'on le désire. On y apportera la richesse, l'esclavage, les loisirs, les religions, l'art, la mode, la science, et les wookies."
Les officiers auraient volontiers souris si ils étaient sûrs que ce fut une blague.
_Mais, maître, comment pourront-nous obtenir des planètes non-colonisées? Elles le sont presque toutes, on ne va tout de même pas s'aventurer à des années lumières de la bordure extérieure?"
_Non. Nous prendront les mondes dont personne ne veut. Ceux qui n'ont pas été colonisés parce qu'ils n'intéressaient personne. En y proposant des bars et des logements vous verrez que les gens viendront vite par eux-mêmes, et qu'ils y planteront les graines manquantes à la colonisation de ces planètes. Ne vous inquiétez pas, je veillerais personnellement à ce que rien ne perturbe le bon fonctionnement de ces mondes."
_Nous vous faisons confiance, Ô Maitre, mais qu'y gagnerons-nous?
_Vous? Rien. un point de chute supplémentaire éventuellement. Pour ma part, je vais bien m'amuser."
Pour la première fois depuis bien longtemps, le son de sa voix l'amplifia à travers son casque:
"Bienvenue dans mon nouveau monde! Le secteur de POUDAID !"
Epilogue:
Le sous-officier attendait, anxieux, le retour de son supérieur que le Maitre avait gardé à la fin de la réunion. Le vaisseau faisait maintenant route vers le secteur POUNAID, pour y fonder une société, qui à l'heure actuelle n'était qu'une folle idée. L'officier sorti enfin, lui adressa un regard neutre avant de lui accorder sa soirée.
Entièrement rassuré, le sous-officier regagna ses appartements. Sa réflexion ironique ne lui avait finalement rien coûté, ni à son supérieur; Il en était ravi. En entrant dans ses appartements, il senti une présence derrière lui. Le maitre étai là. Il le poussa à l'intérieur, entra à sa suite, et verrouilla les portes. Ce soir, dans le grand vaisseau, quelqu'un allait apprendre le respect du à un seigneur sith.
Le vaisseau destroyer de classe Palaeon navigue dans le vide intersidéral, à quelques parsecs de Kamino. Sans objectifs apparents, il ère attendant des ordres de destination, maintenant sa position au système solaire près.
Dans la salle de commandement, les responsables du navire sont réunis sur ordre de leur Maitre. Ils attendent, mi-angoissés mi-rassurés d'être tous présents. La porte s'ouvre, face à la sordide réunion. La silhouette qui tranche l'ouverture de la porte est sombre, grandissante à mesure qu'IL s'avance. IL n'est pas très grand, plutôt de taille moyenne. Mais la vache il en impose. tandis que l'on devine sa respiration qu'il s'efforce de maintenir lente, l'assistance, elle, retient son souffle. Un casque recouvre son visage.Comme toujours.
Pour tous, le Maitre n'a simplement pas d'autre visage que ce masque. Il parait neutre, avec un simple système respiratoire de secours en cas de dépressurisation. Pourtant, avec sa continuité profonde au niveau des yeux, cela lui donne un ai éveillé, méfiant, attentif. Prêt à agir à tout instant à quelque impondérable. Et l’inexpressif orifice lui servant à respirer à travers sa lourde protection ne laisse jamais rien présager de ses réelles intentions. Certains sous-officiers ont entendu du personnel non gradé plaisanter à ce sujet, pronostiquant une incapacité totale à rester sérieux, à conserver une attitude noble, et que cet accoutrement était son seul moyen de se faire respecter. Il n'empêche qu'en sa présence, personne n'osait ne serait-ce que penser à ça.
Il semblait que son torse se gonflait un peu plus à chaque respiration. Comme si il s'apprêtait à exploser une fois arrivé à la table centrale. mais le casque empêchait d'entendre sa respiration. Sa tunique matelassée ondulait timidement au rythme de ses pas cadencés. Sa légère armure au tronc empêchait tout mouvement superflu de sa tunique, pour garer une attitude sobre. Ce qui serait d'ailleurs le cas si ses mains n'étaient pas également équipées de protections, ajoutant au bout de ses doigts une terminaison acérée en Phrik, un alliage qui porte bien son nom car son prix est très élevé, et pour cause il est si résistant qu'il peut résister à un assaut au sabre-laser.
tant ces griffes que sa ceinture étaient des éléments perturbateurs de la tenue du Maitre, venant rompre avec la sobriété. Cette ceinture à laquelle pendaient en tout 8 sabre-lasers. Cela pouvait paraitre étonnant et forcer le respect, mais en réalité ces sabre-lasers étaient tous de sa conception. Non pas qu'il n'avait jamais eu affaire à des Jedi ou à des Siths, bien au contraire, dés qu'il croisait un Jedi au hasard d'un pillage, ce dernier se faisait un devoir de l'éliminer. Comme si ça lui servirait à quelque chose de mourir au combat. Les siths étaient plus réfléchis, plus perfides. Ils ne se battaient pas directement, sauf si ils y étaient contraints. Ils préféraient toujours laisser la sale besogne aux sous-fifres et aux machines, et tentaient parfois de l'éliminer en combat spatial ou en embuscade avec des chasseurs de prime. ce qui avait au moins l'avantage d'être plus facile à gagner qu'un duel au sabre-laser. Le maitre n'aimait pas ces fourberies. C'est pour cela qu'il préférait les Jedis. Eux au moins étaient directs et offraient du challenge.
Oui, le Maitre avait déjà vaincu quelques Jedis en duel, et même un ou deux siths d'après les rumeurs. Il n'appréciait ni les uns ni les autres. Les premiers à cause de leur naïveté qu'il jugeait proche de la niaiserie, les autres à cause de leur fourberie, et de leur soif de pouvoir qui venaient immanquablement parasiter la sienne propre. Et si il était en mesure de les affronter, c'est qu'il avait eu lui-même un bon maitre. Enfant, il a été repéré non-loin des limites de la bordure extérieure, dans le secteur de Yarith. Le chevalier Jedi envoyé là-bas ayant eu des problèmes en chemin avec des pirates, il est resté un moment sur la planète en compagnie du jeune garçon pour lui enseigner les rudiments de la vie qui l'attendait si il suivait son enseignement, et l'initier à percevoir la force. Mais avant que celui-ci ne reparte pour Coruscant, un seigneur sith qui avait aussi senti le garçon et voyait là un apprenti potentiellement puissant, arriva pour se débarrasser du Jedi et de son escorte. Il prit ensuite le garçon sous son aile, lui expliquant qu'il avait été trompé par le Jedi, qui ne lui avait montré qu'une vision trop étroite de la Force. A l'écart des villes, il l'initia insidieusement au côté obscure pendant 2 longues années au cours desquelles il commençait à prendre de plus en plus l'aval sur lui. Il exigeait d'être appelé "maitre". Cela, le garçon ne le voulait pas. Sa liberté devait lui appartenir, à lui et à personne d'autre. Il parvint à tuer son maitre dans son sommeil. Fort de sa jeunesse, et de ses nouveaux pouvoirs, il devint un négociant hors pair, entre arnaques et bonnes affaires, petits larcins et marché régulier... A sa majorité, il avait amassé une somme suffisante pour inciter un parieur à miser son vaisseau à un jeu de hasard qu'il ne lui fut pas difficile de truquer. Il devait son entrainement depuis ses 10 ans à sa propre rigueur et son propre désir d'immersion dans la force. Côté clair ou obscure, il ne faisait pas de distinction et pouvait utiliser sa colère aussi bien que la méditation pour parvenir à ses fins souvent égoïstes. Il avait tellement envie qu'il réussit à s'ouvrir et à s'entrainer de manière très intensive, sans autre enseignement que celui qu'il reçu en moins de 25 mois. Cela lui avait permit d'acquérir des techniques très personnelles dans l'usage de la force, qui déroutaient ses adversaires initiés. Il n'a jamais perdu un combat. Dans le pire des cas, il a fui, mais jamais après avoir été défait. Toujours avant de subir une blessure.
Il arriva enfin à la table, s'y appuya de ses poings griffus, et prit la parole. D'une voix grave, un peu soufflante, mais très basse.
"Bien, vous ignorez pourquoi je vous ai tous convoqués après cette brillante opération en orbite de Kamino."
_Pas pour nous féliciter" souffla un sous-officier à son référant, assis à ses côtés.
Il était impossible que sa voix ait portée jusqu'au Maitre. Même les voisins du sous-officier avaient à peine entendu le souffle de sa voix. Pourtant, l'officier référant blêmit. Et à raison. Il aurait du prévenir son second de fermer sa trop grande gueule. Le Maitre ne releva pas, mais poursuivi son discours en regardant dans la direction du sous-officier:
"Nous sommes parvenu à nous emparer d'un paiement énorme d'une confédération marchande contre la disposition d'un lot de millions de clones de protocole. Nos crédits sont désormais quasiment illimités. il est temps de voir un peu plus grand."
_Ca ne doit pas être facile à travers ce casque" Cette fois-ci, le sous-officier avait prit soin de se contenter de penser très fort, redoutant d'aggraver les réprimandes qu'il subirait sans doutes déjà de son supérieur. Le Maitre semplait pourtant le regarder avec une plus grande intensité. Ce qui semblait indéterminable à cause de son casque, et pourtant cela paraissait aussi évident.
_Il est temps pour moi de créer un monde. Un monde dans lequel chacun pourra venir s'installer. Une flopée de planètes non-colonisées, où tout sera possible pour peu qu'on le désire. On y apportera la richesse, l'esclavage, les loisirs, les religions, l'art, la mode, la science, et les wookies."
Les officiers auraient volontiers souris si ils étaient sûrs que ce fut une blague.
_Mais, maître, comment pourront-nous obtenir des planètes non-colonisées? Elles le sont presque toutes, on ne va tout de même pas s'aventurer à des années lumières de la bordure extérieure?"
_Non. Nous prendront les mondes dont personne ne veut. Ceux qui n'ont pas été colonisés parce qu'ils n'intéressaient personne. En y proposant des bars et des logements vous verrez que les gens viendront vite par eux-mêmes, et qu'ils y planteront les graines manquantes à la colonisation de ces planètes. Ne vous inquiétez pas, je veillerais personnellement à ce que rien ne perturbe le bon fonctionnement de ces mondes."
_Nous vous faisons confiance, Ô Maitre, mais qu'y gagnerons-nous?
_Vous? Rien. un point de chute supplémentaire éventuellement. Pour ma part, je vais bien m'amuser."
Pour la première fois depuis bien longtemps, le son de sa voix l'amplifia à travers son casque:
"Bienvenue dans mon nouveau monde! Le secteur de POUDAID !"
Epilogue:
Le sous-officier attendait, anxieux, le retour de son supérieur que le Maitre avait gardé à la fin de la réunion. Le vaisseau faisait maintenant route vers le secteur POUNAID, pour y fonder une société, qui à l'heure actuelle n'était qu'une folle idée. L'officier sorti enfin, lui adressa un regard neutre avant de lui accorder sa soirée.
Entièrement rassuré, le sous-officier regagna ses appartements. Sa réflexion ironique ne lui avait finalement rien coûté, ni à son supérieur; Il en était ravi. En entrant dans ses appartements, il senti une présence derrière lui. Le maitre étai là. Il le poussa à l'intérieur, entra à sa suite, et verrouilla les portes. Ce soir, dans le grand vaisseau, quelqu'un allait apprendre le respect du à un seigneur sith.
QGI- Admin
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Date d'inscription : 25/08/2011
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